Magesco s’inscrit depuis quelques temps dans une démarche innovante en matière de formation. Nous sommes convaincus que l’approche kinesthésique conviendrait à nombre de personnes qui ont besoin d’expérimenter par une gestuelle, l’intégration de compétences.

Pratiquant le karaté depuis de nombreuses années, nous proposons désormais des formations qui, par des analogies avec le karaté, permettent l’introspection, la compréhension et le développement de « soft skills » (compétences dites « légères », traduit généralement par « compétences humaines »).

Nous vous présentons donc un premier ouvrage, que nous avons fortement apprécié et qui s’inscrit totalement dans notre démarche.

Ouvrage de OUZROUT Areski

et préfacé par Chantal Jouanno, ministre des Sports et championne de France de karaté kata

Ce livre est un essai accompagné de témoignages. Il prolonge l’enseignement reçu au dojo en présentant des outils inédits permettant de révéler au lecteur son propre potentiel.

L’ouvrage est structuré en trois parties :  La première traite de sujets techniques, tactiques, philosophiques et spirituels.  La deuxième partie permettra au pratiquant d’approfondir et d’améliorer sa pratique. Dans le dernier volet, l’auteur partage des souvenirs et des expériences personnelles, notamment ses rencontres avec de grands maîtres devenus légendaires.

En savoir un peu plus sur l’auteur

OUZROUT Areski, est un chercheur et un enseignant de karaté. Il est 7ème dan, titulaire du Brevet d’État d’Éducateur Sportif 2ème degré et responsable de l’École des Cadres pour la ligue du Val-de-Marne de karaté. À ce titre, il a formé de nombreux instructeurs de cette discipline ainsi que de très nombreuses ceintures noires.

Il s’intéresse aussi aux techniques de développement personnel et à ce titre participe à différents stages et conférences.

Ce que nous avons aimé…

Tout d’abord, la lecture est facilitée par des chapitres très courts, qui sont l’objet de publications internet sur le site de l’auteur depuis des années.

Ainsi, vous pourrez piocher des idées pêle-mêles, à moins que vous ne préfèreriez lire le livre dans le sens proposé.

De plus, un glossaire final des termes japonais est très apprécié, tant pour les novices que pour les confirmés.

Enfin, les thèmes abordés représentent un panel intéressant qui ne manquera pas de vous apporter une vision pragmatique de la discipline.

Par dessus tout, Areski OUZROUT est très pédagogue dans son approche, qui reste d’un bon niveau technique et pourtant bien expliquée.

Ce que nous avons moins aimé…

Compte tenu de notre notation, vous comprendrez que sous ce titre, nous aurons peu d’arguments.

Toutefois, il est possible que les non-initiés soient un peu perdus, et encore…

La dernière partie sur les témoignages n’était peut-être pas indispensable, bien qu’elle permette d’avoir quelques retours intéressants.

Notre avis

Une fois la lecture achevée, je me dis que j’aimerais bien connaitre l’auteur. Son humilité et sa vison de l’art martial est vraiment en phase avec les valeurs de respect que nous portons chez Magesco.

L’auteur, tout de même 7^ième dan de karaté à l’heure d’aujourd’hui, nous livre des idées qu’il assume. De plus, il fait également part d’anecdotes personnelles très enrichissantes. S’ajoute à cela, ses expériences au Japon qu’il partage avec simplicité et humour.

De plus, les conseils donnés sont très concrets. Ils s’appuient sur une vraie connaissance du sujet et permettent de mieux comprendre l’essence même de la discipline.

Nous nous inspirons d’ailleurs de plusieurs des notions abordées au cours des formations « S’inspirer du karaté » dispensées par Magesco :

• Gérer les situations difficiles et les émotions (module 1),
• Gérer la relation à l’autre (module 2 – en cours d’élaboration).

Il nous tient en effet à cœur, tout comme l’auteur,  de faire du karaté une source d’inspiration, nous accompagnant pour devenir des êtres meilleurs et tendre vers une sagesse inscrite dans cet art martial.

La phrase retenue pour vous

« C’est pourquoi je pense que ceux qui s’attachent obsessionnellement à la forme technique, c’est-à-dire à la surface de notre discipline, n’en comprennent pas le fond. Ainsi, à défaut de pouvoir travailler sur l’essentiel, ils s’attachent au superficiel. »

Pour vous le procurer

La vidéo à voir pour mieux connaitre l’auteur